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8 août 2016 1 08 /08 /août /2016 21:58

Socialistes, socialistes, quand cesserez vous par vos actions d’assassiner Jaurès (dont vous osez vous revendiquer) et de piétiner les idéaux socialistes dont vous prétendez être les défenseurs ?

Avez vous décidé d’être définitivement des « social-traîtres » ?

Si c’est bien le cas, comme nous le croyons, la moindre des choses serait d’en informer toutes celles et tous ceux qui ont cru en vous, qui ont voté pour vous !

A Lempdes comme ailleurs !

Photo : Patrick Nussbaum Passant outre l'avis de l'inspection du travail, Myriam El Khomri valide le licenciement du délégué CGT d'Air France dans l'affaire dite de « la chemise »

Photo : Patrick Nussbaum Passant outre l'avis de l'inspection du travail, Myriam El Khomri valide le licenciement du délégué CGT d'Air France dans l'affaire dite de « la chemise »

La ministre du travail a validé le licenciement de Vincent Martinez, délégué CGT d'Air France accusé d'avoir participé à l'épisode de la « chemise arrachée », annonce son ministère dans un communiqué, lundi 8 août. L'inspection du Travail avait pris une décision inverse en janvier.

« A l'issue d'une analyse longue et minutieuse des faits survenus le 5 octobre 2015 en marge du comité central d'entreprise du groupe Air France, et sur la base des éléments portés au dossier, il ressort que la faute reprochée est d'une gravité suffisante pour justifier le licenciement du salarié protégé », précise le communiqué du ministère.

Le directeur des ressources humaines de la compagnie aérienne, Xavier Broseta, avait fui des salariés en colère, torse nu et chemise en lambeaux, en marge du comité central d'entreprise du 5 octobre 2015. La direction accusait le salarié d'avoir « poussé et bousculé un autre salarié » vers le DRH. « Il est impossible de déterminer avec certitude » s'il « bouscule des salariés volontairement, ou s'il est lui-même chahuté », avait estimé l'inspection du Travail (que l'on ne peut pas sérieusement soupçonner d'être un nid de gauchistes syndicalistes).

Par ailleurs, plusieurs journalistes avaient enquêté et montré la fragilité des accusations de la DRH à son encontre et la volonté farouche de se débarrasser de ce salarié « gênant ».

Lire : Air France, dernière manche autour de la chemise

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